
fenêtre bleue de Matisse
peintres, sur abadôn
prolonger par un nouveau texte : qu’il va sans armes
fenêtre bleue de Matisse, poupée cassée en équilibre ; grésil des foreuses au travail sous le crâne, et ce fourmillement de becs dans les prunelles, quand les oiseaux plongent à l’envers des rues
le hurlement claque, les mains s’allument comme des torches, les voiles courent à leur voyage immobile ; la mer cache ses loups dans sa toison de laine
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© Michèle Dujardin
1ère mise en ligne et dernière modification le 20 janvier 2009
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